[COLLAB] Carthagène, patios, sunset… chez AlloVoyages

À Carthagène des Indes, arbres à perroquets, dîner dans des patios étoilés

Carthagène

Le quartier de Getsemani, à Carthagène des Indes

Ruelles pavées, balcons coloniaux, patios sous les étoiles… GT vous guide pour une journée à travers la belle Carthagène-des-Indes, dans le nord-ouest de la Colombie, chez AlloVoyages.

« La vertu principale d’un homme, c’est de savoir garder un secret. » Feu Gabriel Garcia Marquez, écrivain colombien vénéré par ses compatriotes, concevait ainsi la nature humaine. Aujourd’hui, il est temps de se montrer très peu vertueux, en explorant sous toutes les coutures la capitale du département de Bolivar et de ce fait trahir ses ultimes mystères. Car des visiteurs, Carthagène-des-Indes en voit pourtant défiler. Dans les deux millions par an. Il n’empêche : cette cité du XVIe siècle s’émancipe, se renouvelle, se dévoile perpétuellement.

Épicentre de la créativité, le quartier de Getsemani occupe les frontières sud-est de la vieille ville. C’est le district populaire, historiquement contestataire, celui dans lequel les grands mouvements indépendantistes et résistants sont nés. Désormais, un souvenir de fierté mâtinée de vitalité souffle dans les ruelles. On y reconnaît les décors de clips d’artistes (nationalement) renommés, la Callejon Ancho, la Callejon Angosto, avec leurs guirlandes composées de drapeaux, de sacs en plastique, si caractéristiques.

Dès potron-minet, il faut partir à la conquête des lieux. Les allées sont désertes ; on ne croise que de rares retardataires, sur le retour d’une nuit caliente à danser la champeta – la musique la plus répandue dans les établissements nocturnes. Les trottoirs sont encadrés de longs murs quelque peu décrépits, toutefois ranimés par les couleurs éclatantes de fresques géantes. Des tons étincelants que l’on retrouve dans les « arbres à perroquets ». Les volatiles, éblouissants, se rassemblent en masse puis s’envolent telle une seule bête. La nuée est captivante à scruter, mais aussi à ouïr puisque des dizaines de battements…” Lire la suite sur allovoyages.fr